Il a été plusieurs fois question de distinguer les taux d’alcoolémie autorisés selon l’âge du conducteur (et d’abaisser la limite du taux autorisé à 0,2 g d’alcool/litre de sang pour les jeunes conducteurs).

Or, les données de l’IBSR (voir les constats) montrent que le risque est tout aussi présent, et même plus élevé, dans les tranches d’âge plus élevées. De plus, et surtout, nous avons déjà évoqué la difficulté d’intégrer une loi si celle-ci est complexe. Nous pensons donc qu’il est bien plus compréhensible, et par conséquent efficace, de maintenir un taux commun, comme c’est le cas actuellement.

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